Protection de la marque NASA

Une marque complexe de vêtements incluant le terme NASA de façon très visible doit être refusée au dépôt dès lors qu’elle porte atteinte à la marque antérieure NASA.        Dénomination commune NASA   Les signes ont . . . Pour consulter ce point juridique inscrivez-vous ici

ZARA c/ CARA : le dépôt de marque autorisé

Le signe verbal CARA.ESHOP peut être adopté comme marque pour désigner de produits et services identiques, sans porter atteinte au droit antérieur de la société ZARA. Appréciation visuelle En effet, visuellement, les éléments verbaux CARA et ZARA des signes en pr . . . Pour consulter ce point juridique inscrivez-vous ici

ANGELA c/ ANGELYS : aucun risque de confusion

Le signe complexe contesté ANGELA ARTISAN GLACIER n’est pas similaire à la marque verbale antérieure L.ANGELYS.. La société ASDESCHAMPS (Société à responsabilité limitée) a déposé le 29 juin 2022 la demande d’enregistrement n° 4880765 portant sur le signe complexe ANGELA ARTISAN . . . Pour consulter ce point juridique inscrivez-vous ici

Avira c/ Avita : dépôt de marque refusé

La forte similitude visuelle entre deux signes peut entraîner un risque de confusion même si l’une des lettres du signe diffère. Il existe bien un risque de confusion entre les signes Avira et Avita justifiant le refus de dépôt de la marque Avita . . . Pour consulter ce point juridique inscrivez-vous ici

IRON MAN c/ IRON IRON : risque de confusion établi

L’appréciation globale du risque de confusion implique une certaine interdépendance des facteurs pris en compte et notamment la similitude des marques et celle des produits et des services désignés. Ainsi, un faible degré de similitude entre les produits et les services désignés . . . Pour consulter ce point juridique inscrivez-vous ici

Marque All Explorers : opposition non justifiée

Le signe verbal contesté ALL EXPLORERS n’est pas similaire à la marque figurative antérieure REC. THE EXPLORERS EXPEDITIONS, son dépôt est autorisé. Affaire All Explorers  La société ALL EXPLORERS (société à responsabilité limitée) a déposé le 2 mars 2022, la demande . . . Pour consulter ce point juridique inscrivez-vous ici

LVMH c/ LVH hôtels & résidences

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la chambre commerciale, financière et économique de la Cour de cassation, composée des président et conseillers précités, après en avoir délibéré conformément à la loi, a rendu le présent arrêt.

Faits et procédure

1. Selon l’arrêt attaqué (Paris, 2 juillet 2021), le 23 mars 2020, le directeur général de l’Institut national de la propriété industrielle (l’INPI) a rejeté l’opposition formée le 2 octobre 2019 par la société LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton, titulaire de la marque française complexe LVMH pour désigner les « services de restauration (alimentation) ; hébergement temporaire ; services de bars ; services hôteliers », contre la demande d’enregistrement n° 4 566 419 du signe complexe « LVH hôtels & résidences » pour désigner les

Risque de confusion entre les marques Romance

Il n’existe aucun risque de confusion entre les marques “Sweet Romance” et “Tout simplement romance”. Risque de confusion entre signes Dans le cadre d’une procédure d’opposition, le risque de confusion entre signes ne s’apprécie qu’en les comparant entre eux. La . . . Pour consulter ce point juridique inscrivez-vous ici

Opposition à la marque Merci

Dès lors que la renommée d’une marque communautaire antérieure est établie sur une partie substantielle du territoire de l’Union, pouvant, le cas échéant, coïncider avec le territoire d’une seul État membre, cette marque jouit d’une renommée dans l’Union. Il ne saurait être exigé du titulaire de cette marque qu’il apporte la preuve de cette renommée sur le territoire de l’État membre où la demande d’enregistrement de la marque nationale postérieure, faisant l’objet d’une opposition, a été déposée. Cette interprétation est conforme à la position de la CJUE (CJUE, 6 octobre 2009, Pago, C-125/07 et 3 septembre 2015, Iron & Smith, C-125/14).

Contrefaçon de jeu pour enfants

Les ressemblances entre deux jeux à destination des enfants ne suffisent pas à établir la contrefaçon. Le seul fait de commercialiser des produits identiques ou similaires à ceux, qui ne font pas l’objet de droits de propriété intellectuelle, distribués par un concurrent relève de la liberté du commerce et n’est pas fautif, dès lors que cela n’est pas accompagné de manoeuvres déloyales constitutives d’une faute telle que la création d’un risque de confusion dans l’esprit de la clientèle sur l’origine du produit, circonstance attentatoire à l’exercice paisible et loyal du commerce.

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